Si les Français peuvent jalouser certaines lettres de l’alphabet tchèque comme l’imprononçable [ř] (pour laquelle nous ne proposerons pas d’équivalent phonétique français), les nasales françaises [in], [on] et [an] ont de quoi donner du fil à retordre aux étrangers !
Mais les 1C, 1D et 2C ne se sont pas laissés impressionner et sont devenus de grands poètes du nez ! Lisez pour constater, à voix haute s’il vous plait !